Avec « Les courants forts », Iris & Arm nous proposent un album dont on ne se lasse pas et sur lequel on ne cesse de revenir. On revient pour écouter leur poésie urbaine remplie de mots simples, déclamés avec clarté et intensité. Iris s'était déjà fait connaitre grâce à « Ciel Éther », quand à Arm, c'est LE membre permanent de Psykick Lyrikah. Ces
deux hommes se sont d'abord rencontrés sur le projet Soul'Sodium, pour « Métronome » avant de se retrouver pour « Comptez les
heures » sur « Vu d'ici », dernier album du groupe rennais. On revient aussi parce que les textes sont mis en valeur par une production musicale variée, riche et puissante signée Le Parasite, My dog is gay,
Boulo, Le Kidd, Pan@Point, Robert le Magnifique (responsable d'une « ambiance à couper au sécateur » sur « Le lièvre »), ou encore Arm
lui-même. La musique à dominante hip-hop fleurte ainsi avec l'électro ou avec le rock en faisant éclater les barrières musicales.
Un album sans temps mort, sans faiblesse où il est sujet de lutte contre le temps qui défile irrémédiablement sur « Minuit Pile », de la ville qui aimante et qu'on désire fuir sur « Plus j'approche » (« Plus j'approche, plus cette ville est bruyante, plus le silence me manque »), ou sur « Initiale, masque, étincelle » (« Moi je quitte cette ville obscure sans freiner »), de combats parce qu' « On ne canalise pas les électrons libres » sur « Minuit pile », ou parce que « Sauver les interludes, braver les interdits, tout est permis » sur « Les temps perdus », d'abandon et de doutes sur « Les temps perdus » (« J'abandonne à la vie mes meilleures défenses »), sur « Les courants forts » (« On ne fait que chuter ») et sur « Plus j'approche » (« Plus j'ai d'as, moins je mise »). Rien à faire, ces « Courants Forts » nous emportent irrémédiablement!
Un album sans temps mort, sans faiblesse où il est sujet de lutte contre le temps qui défile irrémédiablement sur « Minuit Pile », de la ville qui aimante et qu'on désire fuir sur « Plus j'approche » (« Plus j'approche, plus cette ville est bruyante, plus le silence me manque »), ou sur « Initiale, masque, étincelle » (« Moi je quitte cette ville obscure sans freiner »), de combats parce qu' « On ne canalise pas les électrons libres » sur « Minuit pile », ou parce que « Sauver les interludes, braver les interdits, tout est permis » sur « Les temps perdus », d'abandon et de doutes sur « Les temps perdus » (« J'abandonne à la vie mes meilleures défenses »), sur « Les courants forts » (« On ne fait que chuter ») et sur « Plus j'approche » (« Plus j'ai d'as, moins je mise »). Rien à faire, ces « Courants Forts » nous emportent irrémédiablement!
Iris & Arm - Les courants forts - LZO Records -2010
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